L’Eglise est humainement ce qu’elle est, ce que nous sommes – « le scandale des esprits forts, la déception des esprits faibles », disait Bernanos -, mais elle a spirituellement partie liée avec l’absolu et on ne manipule pas le logos comme un lego. Elle est dès ici-bas promesse d’une éternité qui renverra la mode et l’air du temps au rayon des invendus.
Et l’on voudrait qu’elle s’adapte à la modernité ? On demandera un jour aux écureuils de se mettre au Nutella, on fabriquera des pots à taille de noisette que des marchands du temple essaieront à Central Park de leur vendre en cornet.
C’est aussi sot que ça.