La vérité n’étant pas quelque chose mais quelqu’un – la personne même du Christ -, un chrétien ne la possède pas et ne peut que se laisser éclairer par elle.
Chaque être, par son milieu d’origine, sa culture, son vécu, son tempérament, sa pâte humaine, est unique. Il en va de même de son cheminement spirituel avec ses élans, ses freins, dans la liberté de ses pas, la douce patience de Dieu.
Il faut un sommet pour un infini panorama et nul ici-bas ne saurait l’atteindre. Le christianisme ne peut donc être une parfaite union de points de vue mais, plus haut et par avance, qu’une communion.