D’une certaine manière, la religion est à la foi ce que le solfège est à la musique, un moyen non pas une fin. Pour que sa musique parvienne jusqu’à nous, il est heureux que Mozart ait pu écrire ses partitions.
Que nous soyons insensibles à celle du Christ est notre pleine liberté. Que les fausses notes de ses piètres interprètes nous laissent à distance ne peut que s’entendre. Que le second point serve de prétexte au premier et c’est nous qui jouons faux.
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