Certains s’accordent tant de mérites qu’ils tendent à se suffire à eux-mêmes.
D’autres a contrario s’en prêtent tellement peu qu’ils pourraient être enclins à croire que Dieu ne peut s’intéresser à eux, songeant peut-être que seule une vie d’Abbé Pierre ou de Mère Teresa trouve grâce, là-haut. Il n’est rien d’infiniment plus faux.
Le Christ n’est pas venu pour les bien-portants, il n’en trouverait pas, si ce n’est de cet embonpoint de l’âme appelé vanité.