La simple vue d’un être humain devrait nous émouvoir au moins autant – au moins autant ! – que tous les monts et merveilles que nous offre le monde. Mais si le cerf garde la grâce du faon, nous conservons si peu celle de l’enfant.
Notre véritable liberté est alors de vouloir la retrouver, c’est-à-dire de l’accueillir une seconde fois. Une trace de ces retrouvailles n’est certainement pas en notre miroir. En l’autre, plus sûrement, quand d’une vue simple – simplifiée – nous apercevons en lui, quel qu’il soit, une image du Père.