blessure

« Il est inutile de demander à un blessé grave s’il a du cholestérol ou si son taux de sucre est trop haut ! Nous devons soigner les blessures. »  Pape François, bien sûr.

Le chrétien ne doit pas coller comme autant de sparadraps « ses leçons apprises et préceptes humains », selon les mots du Christ, mais dire la tendresse éprouvée d’un Père. C’est elle qui soigne, guérit, relève. Elle a besoin pour cela de prières qui entrouvrent, de silences qui comprennent, de paroles qui sèment, de gestes qui pansent, pas de leçons de morale.

Il n’est que Dieu pour nous donner à voir – rien de moins grave – à quel point nous sommes malades.

Une réflexion sur « blessure »

  1. Malades, certes ; mais vivants et libres…de la vraie liberté : celle de la grâce de Dieu !
    Une blessure étant faite à un organisme vivant, volontairement ou par accident, il y a les blessures nécessaires, comme celles de l’orgueil, qui nous font rechercher résolument la santé de Dieu. En union de prière.

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